« Les prisonniers le savent bien : les murs empêchent de penser. »
Notre rapport à l’espace a considérablement changé avec le confinement. Nous avons modifié nos habitudes de consommation et nos déplacements et à fortiori, nos solutions de mobilité.
Mais avant d’être des individus augmentés par la technologie, les bipèdes sont grégaires. Le besoin d’être ensemble est vital.